FAQ

Les panneaux photovoltaïques sont recyclables à hauteur de 95%. Un panneau solaire est composé à 75 % de verre. Une matière recyclable à l’infini, tout comme l’aluminium qui compose son cadre. À l’intérieur, on retrouve un film plastique en EVA qui peut être transformé en granules pour être refondu ou brûlé pour générer de l’électricité. Enfin, restent les cellules en silicium et les conducteurs électriques qui peuvent être en aluminium, en argent ou en cuivre. Les matières sont alors recyclables à hauteur de 95%.

Technique Solaire est adhérant à l’organisme Soren (anciennement PV Cycle). Nous nous engageons dans un processus de recyclage des panneaux. Nous assurons la collecte, le transport et le recyclage des panneaux photovoltaïques pour nos clients.

Pour en savoir plus, consultez notre article ici.

Pour les projets réalisés en France, les Appels d’Offres de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) notent les projets, notamment sur la base du bilan carbone des modules. Cela incite les développeurs à choisir des modules ayant le meilleur bilan carbone possible.

Aussi, Technique Solaire travaille avec plusieurs fournisseurs en France et à l’international.
Notre stratégie d’approvisionnement est diversifiée. Nous travaillons principalement avec des conglomérats (français ou internationaux), car nous souhaitons travailler avec des fabricants offrant des garanties solides.

La durée de vie minimale d’un panneau solaire photovoltaïque est d’environ 40 ans. Au-delà, le rendement du panneau diminue progressivement.

Le bilan carbone des panneaux solaires comprend toutes les émissions de gaz à effet de serre cumulées sur le cycle de vie d’un panneau photovoltaïque (extraction et mise en forme de silicium, procédé de fabrication des cellules, des panneaux, transport, équipements divers …).

Pour les projets réalisés en France les Appels d’Offres de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) notent les projets sur la base du bilan carbone des modules. Cela incite les développeurs à choisir des modules ayant le meilleur bilan carbone possible.

Le bilan carbone des panneaux photovoltaïques de Technique Solaire est de l’ordre de 500 kg eq CO2/kWc environ. Par ailleurs, selon l’ADEME (Agence de la Transition Ecologique), un panneau photovoltaïque atteint sa neutralité carbone au bout de 3 ans. Un impact faible donc pour une exploitation d’au moins 30 ans.

Nos projets photovoltaïques au sol sont systématiquement soumis à Etude d’Impact sur l’Environnement. Pour réaliser cette étude règlementaire, nous sommes accompagnés par des bureaux d’études indépendants et experts dans leur domaine. Pour chaque projet, l’Etude d’Impact sur l’Environnement comporte une analyse complète des enjeux faunistiques et floristiques nous permettant d’identifier les zones à forts enjeux et ainsi de les prendre en compte dans la conception du projet à travers de la doctrine « Eviter – Réduire – Compenser ». Cette doctrine se traduit ainsi par des mesures concrètes permettant la prise en compte de la biodiversité dans le projet (évitement des zones à forts enjeux, adaptation des périodes de travaux…).

Vous serez propriétaire de l’installation à la fin du bail (à construction ou emphytéotique).

Le développement d’un projet dure de 18 à 24 mois sous conditions et peut varier en fonction de la typologie de votre projet.

Vous pouvez suivre l’avancement de votre projet en composant le 05 49 56 01 19, choix n°3.

Vous pouvez joindre le service exploitation / maintenance en composant le 05 49 56 01 19, choix n°5.

Le week-end, des astreintes sont mises en place permettant de traiter les différents sujets urgents.

Vous pouvez joindre le service administratif en composant le 05 49 56 01 19, choix n°1.

Le biogaz est épuré et transformé en biométhane qui est ensuite contrôlé, odorisé puis injecté dans le réseau de distribution.
De plus, la production locale de gaz renouvelable, implique la réduction d’importation de gaz fossile d’autres pays.

Le digestat est une matière naturelle, traitée et valorisée par un retour au sol sur les terres agricoles permettant une réduction de la consommation d’engrais chimiques et de produits phytosanitaires.

Le digestat étant inodore, il n’y aura plus de nuisances olfactives lors des périodes d’épandage.

Le processus de méthanisation en lui-même ne génère pas d’odeur car la réaction se déroule toujours dans des cuves étanches pour maintenir un milieu anaérobique, indispensable aux bactéries responsables de la production de biogaz.

Nous avons à cœur de ne pas gêner le voisinage, aussi, nous prévoyons systématiquement que les intrants ayant une odeur soient stockés sous un bâtiment avec un traitement de l’air.

Les émissions sonores d’une unité de méthanisation sont minimes. Le compresseur est isolé phonétiquement et produit un bruit perceptible dans un rayon très limité et réduit au site (60 dB à 10 m).

Par analogie, une voiture en circulation à 7,5 m émet un niveau sonore de 81 dB.

Le biogaz est chargé d’humidité et n’est pas sous pression (5 mbar). Le stockage de biogaz correspond à quelques heures de production et à l’équivalent en contenue énergétique d’une cuve de fioul de 1800 l ou d’une citerne de gaz propane de 800 kg, ce qui existe dans de nombreuses habitations.

Après épuration, le biométhane est directement injecté dans le réseau sans stockage.